L’idée principale de ce récit, c’est la bonté modeste et sincère d’un être simple, un vieux sous-officier en retraite, Astafi. Hébergé chez un célibataire bien modeste, il raconte qu’il a lui-même, dans le passé, hébergé un pauvre ivrogne, Emelian, comment il lui est venu en aide, a sympathisé avec lui et a éprouvé un vif chagrin lorsqu’il s’est aperçu que celui-ci l’avait volé. Deux thèmes chers à Dostoïevski sont abordés : la grandeur d’âme des pauvres gens et l’ivrognerie.